MLLE FLEMMING, PRÉNOM: ALANIS

PRÉNOM&NOM : Alanis Flemming, j'ai hérité du nom de mon mari lors de mon mariage. Mon nom de jeune fille est en fait Jenkins.
ÂGE : 28 ans
NATIONALITÉ : Américaine
LIEU&DATE DE NAISSANCE : New Haven, Connecticut, USA - 2O avril
STATUT MARTIAL : Je suis mariée depuis trois fabuleuses années à Sunders Flemming.
EMPLOI : Cuisinière/patissière


RÉCAPITULATIF
PERSONNALITÉ : Je suis une femme très simple, qui aime les choses simples et vivre simplement, sans me casser la tête pour une stupidité telle que la couleur de mon nouveau sofa. J'agis selon mon humeur, souvent par impulsion. Il est rare que je prévois quelque chose à long terme, je vis au jour le jour et je laisse la magie du destin agir. J'ai horreur d'être stressée et sur les nerfs, c'est pour cette raison que j'ai choisi de vivre ainsi. Certaines femmes préfèrent travailler, toujours travailler pour atteindre le sommet par pure compétition. Je ne recherche rien de tout cela, je crois que les gens s'attachent à moi pour ma simplicité. Mon bonheur et celui de mon mari sont très importants à mes yeux. Sunders fait parti de moi, et si je ne le vois pas sourire chaque matin, eh bien ma journée commence mal, c'est comme ça. Je m'accroche aux petites choses auxquelles les gens ne pensent pas, ces petits bonheurs qui embellissent une journée. Je crois que tout cela résume parfaitement qui je suis et en quoi je crois, sans avoir à entrer dans les détails superflus.
VIE SENTIMENTALE : J'ai rencontré Sunders Flemming dans une grande réception de Noël donnée par ma très gentille maman. Quand je suis arrivée, je venais de descendre de l'avion. J'étais en stage dans le Texas et il se terminait justement le 24 décembre, le soir de la réception. On gelait dehors, et quand j'ai ouvert la porte de notre énorme maison, j'avais les pomettes rougies par le froid et il paraît que j'étais belle à croquer. Sunders m'a souvent dit que ce soir là, aucun homme n'aurait pu me résister, surtout pas lui. Je sais qu'il dit ça pour me faire sourire, mais ça fonctionne très bien. Bref, j'ai retiré mon manteau pour aller faire la bise à ma famille. Il y avait une tonne de personnes dont j'ignorais l'identité, et il était là, à me regarder. Tout le monde l'a remarqué, les filles me chuchottaient tous à l'oreille, elles disaient qu'il ne cessait de me regarder. Après le souper, il a osé s'approcher. À cette époque, il était un vrai gentleman, très charmeur (il l'est encore aujourd'hui, d'ailleurs). Tout en me disant bonsoir, il a pri ma main et l'a doucement baisé du bout de ses lèvres. À cet instant là, j'ai su que c'était lui qu'il me fallait, et j'ai bien fait de suivre mon intuition parce que je ne me suis pas trompée. Cet homme charmeur m'a demandé ma main un an plus tard, devant toute ma famille en entier. Je vis avec lui depuis trois belles années et je sais que je ne saurais pas vivre sans lui. Depuis que je suis enceinte, il fait tout. Il refuse que je fasse le ménage, il a même peint la chambre du bébé même s'il déteste ça parce qu'il sait très bien que je l'aurais fait moi-même. Il fera un très bon père, un peu papa-poule, mais c'est ce qu'il faut.
HISTOIRE : Mon histoire commence évidemment avec celle de mes parents, Suzie et Paul Jenkins. Ma mère s'appelait à l'époque Suzanna Wilson, elle avait encore son nom de jeune fille. Ils sont se rencontré il y a exactement 30 ans, ils fêtent cet anniversaire cette année. Quand ils me parlent de leur belle histoire d'amour passionnée, je rêve de connaître la même chose. Ce n'est rien de compliqué, laissez-moi vous raconter.

Mon grand père, le père de ma mère, possédait une chocolaterie où l'on préparait les plus délicieuces truffles de New Haven. Ma maman y travaillait souvement pour financer ses études en cuisine (eh oui, vous l'aurez deviné, c'est de famille). Mon père, quant à lui, était tout nouveau à New Haven et tout perdu, il venait d'entrer à Yale en droit. Il avait préféré Yale À Harvard même s'il avait été accepté dans les deux, allez savoir pourquoi. Bref, ils se sont rencontrés dans la chocolaterie de mon grand-père, alors Paul allait se chercher quelques gâteries. J'imagine encore la scène aujourd'hui mais je suis certaine que ce n'est pas comme ça que ça s'est véritablement passé : mon père entre, et c'est ma mère qui est à la caisse. Et là paf, leurs regards se sont croisés. Un peu comme Sunders et moi, quand j'y repense. Pour faire court, ils se sont évidemment marier et ont vécu pendant deux ans dans un petit cottage avant de songer aux enfants. Je suis donc née un 2O avril par une belle journée de printemps. Ma mère a perdu ses eaux à la chocolaterie, devant une tonne de clients et s'est rendue juste à temps à l'hôpital pour donner naissance à une petite fille toute frêle : moi. Ma mère m'a souvent que dès qu'elle m'avait regardé, il n'y avait plus eut question d'Aubrey ou de Justine, j'étais spéciale. J'avais donc droit à un nom digne de moi-même, c'est donc ainsi qu'on m'a baptisé Alanis.

J'étais une gentille petite fille bien ordinaire. Déjà à dix ans, je rêvais d'être Cendrillon et de me marier comme l'avait fait ma maman. Il n'était pas rare de me voir fouiller dans les photos de mariage de Suzanna. J'étais dingue de ces grandes robes blanches et de ces anneaux d'or. Une fois l'adolescence atteinte, j'ai délaissé un peu mes rêves de princesse pour me tourner vers mes études. À 17 ans, je n'étais même pas consciente de la perle que j'étais, je me fichais un peu d'être magnifique. Je voulais succéder à ma mère, reprendre le commerce familliale et je passais bonne partie de mon temps en cuisine. Je suis donc allée dans une grande école de cuisine de New Haven à mes 18 ans, et j'y découvris ma passion. Je ne voulais pas faire que des chocolats, je voulais être une grande chef, je désirais tout faire. Mon histoire n'est pas bien longue et très simple, je suis quelqu'un d'ordinaire, dans un monde ordinaire. Mais je vis avec quelqu'un de réellement extraordinaire qui fait de ma vie un paradis. Je n'ai finalement pas repri le commerce famillial, la chocolaterie a fermé avant que je puisse m'y mettre. Aujourd'hui, avec un peu de recul, je pense que c'est une bonne chose, puisque je ne souhaitais pas vraiment être chocolatière. Je me suis mariée à Sunders, j'ai fait le voeux de l'aimer et de le chérir jusqu'à ce que la mort nous sépare. Il est le père de mon enfant, et je ne regrette pas du tout d'avoir quitter ma ville natale pour l'accompagner à New York. Ce grand appartement plutôt luxueux sera le premier toit de notre enfant et je veux que tout soit parfait. J'ai entâmé il n'y a pas longtemps pour quatrième mois, et je commence vraiment à avoir un gros ventre, plus ça va, plus j'ai l'impression que le temps accélère. Je suis heureuse et en paix, tout simplement.
GOÛTS : Si je devais décrire mes goûts, je dirais que j'adore tout ce qui semble «joyeux». Les jolies couleurs joviales, les jouets d'enfants qui commencent tranquillement à se rassembler dans la chambre du bébé. Depuis que je suis enceinte, j'ai développé plusieurs goûts assez étranges. Je ne vais pas entrer dans les détails, il y en a tellement. Il y a deux choses dont je suis folle et dont je ne peux pas me passer le matin en me réveillant : mon homme et un bon cappucino chaud.

QUESTIONNAIRE
AIMEZ-VOUS L'AMOUR? : Oh mon Dieu, certainement!
DÉCRIVEZ L'AMOUR DANS VOS MOTS : C'est chaleureux, doux et bon. Une fois qu'on y a goûté, on ne peut plus s'en passé. C'est une flamme qui ne s'éteind jamais.
À LA VIE, À LA MORT, DANS LA SANTÉ ET LA MALADIE? : J'ai prononcé ces mots un 28 mai, il y a trois ans de cela.
VOTRE PLUS BEAU SOUVENIR : Seigneur, il y en a tellement... Tout d'abord, ma rencontre avec Sunders. Il m'a fait fondre avec son regard enflammé. Puis le jour où il s'est agenouillé pour me demander ma main (j'ai évidemment accepté). Puis finalement, c'est tout récent, ce petit bébé qui grandit dans mon ventre rond.
VOTRE EXPRESSION FAVORITE : « Flute ». C'est très laid, je sais, mais j'ai toujours ce mot à la bouche.
UNE PETIT RIEN DU TOUT QUI VOUS FAIT SOURIRE : Les petits matins où je me réveille à l'aurore, quand j'ouvre les yeux et que Sunders est tout près et m'observe tout en flattant mon ventre avec sa main.
VOTRE MOMENT PRÉFÉRÉ DANS LA JOURNÉE : Le matin, sans hésité.
LA PERSONNE QUI VOUS CONNAÎT LE PLUS : Mon mari me connaît par coeur, il n'y a pas un chapitre de moi qu'il ne connaisse pas.


DERRIÈRE L'ÉCRAN
PRÉNOM : Caroe ^^
ÂGE : 15 ans
SEXE : Bahhh j'crois que je suis une fille, ça reste à vérifier =X
COMMENTAIRES/SUGGESTIONS : Faudrait d'abord enlever ce design hideux, puis évidemment écrire partout que je suis la plus gentille fille de la terre (la sortie est à gauche? merci).
CODE :

Spoiler:

Je m'auto-valide ^^